
Éditions Denoël
Nb de pages : 310.
Série : /
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Traducteur : Mélanie Trapateau.
Illustration : Clarence Clavel
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Challenge : ABC 2018.
Nb de pages : 310.
Série : /
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Traducteur : Mélanie Trapateau.
Illustration : Clarence Clavel
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Catégorie : Humoristique
Partenariat : DenoëlChallenge : ABC 2018.
Mele Bart tient un blog culinaire. Installée à San Francisco, elle a vingt-huit ans, une magnifique petite fille de deux ans, Ellie, et un ex, Bobby, qui lui a appris qu’il était déjà fiancé à une autre le jour où elle lui a annoncé qu’elle était enceinte. Quand ce dernier lui demande que leur petite fille soit demoiselle d’honneur à son mariage, Mele accepte, un peu à contrecœur.
Pour se changer les idées, elle décide donc de s’inscrire à un concours de recettes de cuisine organisé par le Club des mamans de San Francisco. Si elle peine au départ à se faire une place parmi le cercle fermé des mamans parfaites, toujours promptes à la critique, les amis qu’elle va se faire deviendront rapidement ses meilleurs alliés. Très vite, elle trouve en eux soutien et réconfort, mais aussi une source d’inspiration culinaire, chacune de ses recettes étant basée sur une anecdote vécue. Et qui sait, peut-être que l’amour l’attend aussi au bout du chemin…. |
Je voudrais remercier les éditions Denoël pour ce partenariat.
L’histoire
- Une jeune femme tente d’écrire un livre culinaire en s’appuyant sur les aventures racontées par ses amis, parents de jeunes enfants, comme elle.
Mon avis
Je voulais un livre frais, rigolo, sans prise de tête, car je suis en pleine phase de correction de mes propres textes. J’ai donc parié sur celui-ci, lorsque les éditions Denoël l’ont proposé en partenariat.
Pari perdu !
D’humoristique, je n’ai relevé que quelques rares phrases et situations. Je suis très loin des pantalonnades et de la sensation d’avoir lu un roman « Impitoyable, drôlissime et... tellement vrai ! » (citation de la 4e de couverture, attribuée au Cosmopolitan).
Mais, il est vrai que je ne trouve pas normal de manger un space cake (ni d’en offrir un). Par conséquent, beaucoup de passages m’ont soit déplu, soit laissé de marbre.
Même les petits commentaires postés sur le forum des CMSF (Club des mamans de San Francisco) ne m’ont pas amusé. Les sujets abordés sont parfois intéressants, avec des visions différentes, mais j’avoue que j’ai rapidement cessé de les lire et me suis concentrée sur l’histoire.
Leurs vécus, orientés sur leur parentalité, sont divers. Entre mère adepte de la fumette, mère dépassée et père fabuleux (tellement chou et parfait que.... ah, zut, pas de spoiler), l’auteure tente de démontrer qu’il n’existe pas de mère parfaite et que chacune aborde sa relation avec ses enfants en fonction de son vécu. D’autres l’ont déjà fait avec un peu plus de brio.
Le livre est une succession de trois "formats" : les commentaires des mères sur le forum (j'ai zappé les derniers) ; les chapitres concernant Mele, où elle répond à des questions pour le dépôt de son livre ; les chapitres de ses amis avec leur aventure.
L’auteur use donc tour à tour de la première personne, puis de la troisième. Cela donne un charme certain au roman.
Le style est agréable et la lecture rapide. Les descriptions sont simples et très visuelles.
Pari perdu !
Le même humour ?
D’humoristique, je n’ai relevé que quelques rares phrases et situations. Je suis très loin des pantalonnades et de la sensation d’avoir lu un roman « Impitoyable, drôlissime et... tellement vrai ! » (citation de la 4e de couverture, attribuée au Cosmopolitan).
Mais, il est vrai que je ne trouve pas normal de manger un space cake (ni d’en offrir un). Par conséquent, beaucoup de passages m’ont soit déplu, soit laissé de marbre.
Même les petits commentaires postés sur le forum des CMSF (Club des mamans de San Francisco) ne m’ont pas amusé. Les sujets abordés sont parfois intéressants, avec des visions différentes, mais j’avoue que j’ai rapidement cessé de les lire et me suis concentrée sur l’histoire.
Quatre vécus.
Pour faire simple, Mele, l’héroïne, décide d’écrire un livre culinaire. Écrire est un vieux rêve. Elle y pense depuis longtemps et ce concours lui en offre l’occasion. Néanmoins, elle va vite s’apercevoir que l’art est difficile et qu’allier les vies de ses amis a des créations n’est pas des plus facile. Avant de commencer à composer pour chacun un plat, elle leur octroie des interviews.Leurs vécus, orientés sur leur parentalité, sont divers. Entre mère adepte de la fumette, mère dépassée et père fabuleux (tellement chou et parfait que.... ah, zut, pas de spoiler), l’auteure tente de démontrer qu’il n’existe pas de mère parfaite et que chacune aborde sa relation avec ses enfants en fonction de son vécu. D’autres l’ont déjà fait avec un peu plus de brio.
Alternance narrative
Le dernier point que je relèverai dans ce bouquin, c’est l’alternance narrative.Le livre est une succession de trois "formats" : les commentaires des mères sur le forum (j'ai zappé les derniers) ; les chapitres concernant Mele, où elle répond à des questions pour le dépôt de son livre ; les chapitres de ses amis avec leur aventure.
L’auteur use donc tour à tour de la première personne, puis de la troisième. Cela donne un charme certain au roman.
Le style est agréable et la lecture rapide. Les descriptions sont simples et très visuelles.
Un autre livre de cet auteur
Sûrement pas.Au final
Les mots pour : alternance narrative, quelques petites touches d’humour
Les mots contre : loin du drolissime annoncé, convenu, déjà vu.
Les mots contre : loin du drolissime annoncé, convenu, déjà vu.
En bref : un livre humoristique sans réelle saveur, mais qui se lit rapidement.
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