Hériter d'un royaume, mais à condition de retrouver un trésor, voilà la destiné de Mydria ! Sauf que cela implique d'être recherchée par tous... Découvrez l'aventure jeunesse fantasy de cette jeune femme dans ce premier tome de la série L’héritage des Darcer : L'envol de Marie Caillet.
Éditions Michel Lafon
Nb de pages : 407.
Série : L’héritage des Darcer (T1)
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Traducteur : /.
Illustration :
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Nb de pages : 407.
Série : L’héritage des Darcer (T1)
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Traducteur : /.
Illustration :
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Catégorie : Fantasy Jeunesse
Partenariat : /
Challenge : ABC imaginaire 2019.
Lorsqu’on s’appelle Mydria, qu’on est la fille unique et chérie des puissants Siartt, et qu’on a pour objectif principal d’accéder à un pouvoir plus grand encore en épousant le prince héritier du royaume, la vie ne peut pas être ennuyeuse. Jusqu’au jour où Mydria découvre ses vraies origines. Elle n’est nullement Siartt, mais l’ultime héritière d’une dynastie renversée depuis des générations ! Horreur : à la suite de ses ancêtres, elle est tenue de se lancer à la recherche du trésor familial, recevant pour seules aides un sifflet et le Don d’Aile, cet étrange pouvoir capable de vous métamorphoser à volonté… Le pire danger ne l’attend peut-être pas derrière l’errance, la bataille et les cloques aux pieds. Le pire danger pour un cœur confiant ne tient peut-être qu’en un seul nom : Orest. |
L’histoire
- Une adolescente, adoptée à sa naissance, apprend, le jour où elle se transforme, qu’elle appartient à une grande lignée, les Darcer. En plus de sa métamorphose, son aïeul lui a légué un trésor. Encore faut-il le retrouver...
Mon avis
Ce livre avait été acheté, il y a quelques années pour ma choupette, mais elle ne l’a jamais lu. Comme le résumé me plaisait, je l’ai mis dans mon ABC.
Ce sera, bien sûr le mot du livre :
Je vous invite à aller consulter le petit site Lachimie.net (ludique, simple...)
Du coup, un être humain lambda s’il se métamorphose devrait conserver approximativement la même taille, et le même poids. Ce qui n’est absolument pas le cas dans ce roman.
Alors, effectivement, ce n’est pas la seule auteure à jouer avec ce principe : les loups-garous et leurs nombreux poils ; Hulk (un des exemples les plus évidents)... McGonagall et son chat.
Après, dans le livre, c’est amené avec logique et assez bien pensé.
Métamorphose...
Et, après un début alléchant, je suis tombée dans une lecture sympathique, même si elle comprend un point qui me chagrine : le non-respect des lois élémentaires de la physique. En occurrence, la conservation de la masse et de la matière.Ce sera, bien sûr le mot du livre :
Rien ne se perd, rien ne se crée !
La loi de conservation de la masse est le principe selon lequel ni la transformation physique ni les réactions chimiques ne créent ou ne détruisent la masse dans un système isolé. (décrit par Antoine Lavoisier en 1789)
Je vous invite à aller consulter le petit site Lachimie.net (ludique, simple...)
Du coup, un être humain lambda s’il se métamorphose devrait conserver approximativement la même taille, et le même poids. Ce qui n’est absolument pas le cas dans ce roman.
Alors, effectivement, ce n’est pas la seule auteure à jouer avec ce principe : les loups-garous et leurs nombreux poils ; Hulk (un des exemples les plus évidents)... McGonagall et son chat.
Après, dans le livre, c’est amené avec logique et assez bien pensé.
Écriture fluide.
Marie Caillet nous conte son histoire avec délicatesse. Les mots coulent, le rythme est agréable, mariage d’action et des pensées de l’héroïne.
Quelques digressions viennent augmenter le fil de trame, sans l’alourdir. Les descriptions sont claires, sans surcharge.
L’ensemble se lit donc bien, même si j’ai rapidement saturé.
Adolescente et fantasy
Dans l’un des premiers « mots du livre », je revenais sur le principe de l’ado orphelin qui part en quête. Ce roman n’échappe pas à cette règle.
Sauf que cette fois, je ne suis pas complètement parvenue à dépasser l’âge de l’héroïne, un peu trop nunuche à mon goût. Et surtout, je n’ai absolument rien ressenti pour elle, ni angoisse, ni peur, ni joie, ni... rien.
Par contre, les personnages secondaires sont bien construits, sombres, tourmentés.
La suite ?
Non. La lecture des derniers chapitres m’a pesé, j (« ai des tas de bouquins dans ma pal. Je passe mon tour.
Au final
Les mots pour : écriture, idée de base, personnages secondaires.
Les mots contre : langueurs, personnage principal
Les mots contre : langueurs, personnage principal
En bref : une aventure charmante, avec de bonnes idées, mais un personnage principal insipide.
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