Et si vos cauchemars annonçaient des situations, finalement, moins troublantes que la réalité ? Suivez les rêves de Tara, et surtout ses découvertes, dans ce premier tome de la série L'âme de la nuit : nitescence, de Maria J Romaley.
Éditions Rebelle (Chimères)
Nb de pages : 296
SAGA L’ÂME DE LA NUIT
Traducteur : /.
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Catégorie : Fantastique Romance
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Nb de pages : 296
SAGA L’ÂME DE LA NUIT
Traducteur : /.
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Catégorie : Fantastique Romance
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Partenariat : /
Challenge : ABC imaginaire 2017
Challenge printemps de l'imaginaire francophone.
Challenge printemps de l'imaginaire francophone.
Une mère dont la vie n’a de sens que l’existence de son fils voit son monde basculer dans les méandres incertains d’une autre réalité. Là, règle une guerre, cachée aux yeux des mortels, entre des créatures mythiques dont seuls ses rêves pouvaient lui souffler l’existence.
Que faire quand on est partagé entre une passion interdite et un amour protecteur plus puissant que sa propre raison ? Que faire quand notre vie est menacée à chaque instant et que l’on entraîne avec nous, amis et famille ? La mort n’est pas une réponse acceptable lorsque la vie d’un enfant est en jeu… |
Premier tome d'une trilogie :
- L'Âme de la Nuit, tome 1 : Nitescence
- L'Âme de la nuit, tome 2 : Déhiscence
- L'Âme de la nuit, tome 3 : Résipiscence
Biographie
Maria J. Romaley (de son vrai nom Maria José Rojas Marquez Leydier) est née au Chili.
Elle se réfugie en France à l’âge de trois ans, gagne son premier concours de poésie à l’Académie de Provence à 9 ans, et écrit son premier roman à 12 ans. Encouragée par ses professeurs de français, elle participe à des concours d’écriture et elle poursuit par des études en Lettres modernes (avec un goût prononcé pour le sanskrit et la religion bouddhiste).
Son site
Elle se réfugie en France à l’âge de trois ans, gagne son premier concours de poésie à l’Académie de Provence à 9 ans, et écrit son premier roman à 12 ans. Encouragée par ses professeurs de français, elle participe à des concours d’écriture et elle poursuit par des études en Lettres modernes (avec un goût prononcé pour le sanskrit et la religion bouddhiste).
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L'histoire
- Une jeune femme, particulièrement altruiste découvre que cette faculté à aimer est liée à son âme...
Mon avis
J'ai rencontré Maria, après plusieurs années de liens amicaux sur les réseaux, lors d'un salon commun. J'avais lu d'elle, peu de temps auparavant, Thérapie Bleu Maya, premier tome de la série les Frères Sinclair, que j'avais adorée.
Dans ce roman aussi, la romance est belle et prenante. Mais, j'avoue que mon engouement est moindre, par rapport à l'autre roman, qui avait su m'engouer, me divertir et me donner la pêche.
Néanmoins, l'histoire et les personnages sont convaincants, la plume agréable et les idées intéressantes. Ce livre est essentiellement une romance sur fond de paranormal. Ce n'est absolument pas un reproche, bien au contraire, mais le résumé laisse penser à une intrigue magique plus importante qu'elle ne l'ait.
Pour faire simple et résumer rapidement, sans trop vous en dire, Tara va se retrouver dans une situation périlleuse et un bel homme (salivez-pas !) va l'aider à surmonter ce délicat problème. Mais le cœur et la raison ne sont souvent pas d'accord... et Maria J Romaley va jouer sur ce principe.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que les personnages sont fouillés, détaillés et captivants. Tara, bien sûr, l’héroïne qui nous raconte son histoire (petit bémol, mais vous avez l'habitude, pour cette narration à a première personne) et l'on découvre un personnage au grand cœur, avec un vécu contemporain sans grande innovation : un divorce et un gamin à élever en alternance. Son côté altruiste m'a plu.
Je pointerai aussi les changements narratifs, précédés par un simple prénom en italique et qui m'ont un peu perturbé, d'autant que par moment, on bascule dans le récit/journal d’autres personnes, à d'autres époques. Des marqueurs temporels plus évidents aideraient à se projeter dans le texte.
L'auteure a fait passer des idéaux positifs dans son texte et une réelle prise de conscience d'une société en déroute où les pauvres et les sans-abri souffrent mille maux alors que d'autres personnes mangent du caviar. Bon point pour cette part très réaliste, même si elle reste secondaire et n’apparaît que dans la présentation de Tara.
Toute la partie mythologique avec les personnages paranormaux est assez claire et compréhensible. Les personnages se lisent facilement, dans leur caractère et leur passé (cela reste un premier tome, tout n'est donc pas raconté).
Malgré tout, ce roman m'a dérouté par certains passages un peu longuets et une baisse de rythme. Les atermoiements et questionnements de Tara ralentissent l'histoire, qui souffre déjà d'un manque d'action. Beaucoup de sentiments sont mis en exergue, et cela même dans les scènes de "combat".
Romance paranormale
Dans ce roman aussi, la romance est belle et prenante. Mais, j'avoue que mon engouement est moindre, par rapport à l'autre roman, qui avait su m'engouer, me divertir et me donner la pêche.
Néanmoins, l'histoire et les personnages sont convaincants, la plume agréable et les idées intéressantes. Ce livre est essentiellement une romance sur fond de paranormal. Ce n'est absolument pas un reproche, bien au contraire, mais le résumé laisse penser à une intrigue magique plus importante qu'elle ne l'ait.
Pour faire simple et résumer rapidement, sans trop vous en dire, Tara va se retrouver dans une situation périlleuse et un bel homme (salivez-pas !) va l'aider à surmonter ce délicat problème. Mais le cœur et la raison ne sont souvent pas d'accord... et Maria J Romaley va jouer sur ce principe.
Charisme et personnages fouillés.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que les personnages sont fouillés, détaillés et captivants. Tara, bien sûr, l’héroïne qui nous raconte son histoire (petit bémol, mais vous avez l'habitude, pour cette narration à a première personne) et l'on découvre un personnage au grand cœur, avec un vécu contemporain sans grande innovation : un divorce et un gamin à élever en alternance. Son côté altruiste m'a plu.
Je pointerai aussi les changements narratifs, précédés par un simple prénom en italique et qui m'ont un peu perturbé, d'autant que par moment, on bascule dans le récit/journal d’autres personnes, à d'autres époques. Des marqueurs temporels plus évidents aideraient à se projeter dans le texte.
L'auteure a fait passer des idéaux positifs dans son texte et une réelle prise de conscience d'une société en déroute où les pauvres et les sans-abri souffrent mille maux alors que d'autres personnes mangent du caviar. Bon point pour cette part très réaliste, même si elle reste secondaire et n’apparaît que dans la présentation de Tara.
Toute la partie mythologique avec les personnages paranormaux est assez claire et compréhensible. Les personnages se lisent facilement, dans leur caractère et leur passé (cela reste un premier tome, tout n'est donc pas raconté).
Rythme et longueurs
Malgré tout, ce roman m'a dérouté par certains passages un peu longuets et une baisse de rythme. Les atermoiements et questionnements de Tara ralentissent l'histoire, qui souffre déjà d'un manque d'action. Beaucoup de sentiments sont mis en exergue, et cela même dans les scènes de "combat".
Au final
Les mots pour : idées, plume, sentiments
Les mots contre : rythme et longueurs
(explication de la grille de notation)
Les mots contre : rythme et longueurs
(explication de la grille de notation)
Style : 4/5 |
Intrigue : 3/4
|
Personnages : 3/4
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Écriture : 2 | Crédibilité : 1.5 |
P principal(aux) : 2/3
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Narration :1 | Action : 0.75 |
P secondaires : 1/1
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Description :1 | Violence/Tendresse :0.75 |
Temps et espaces : 1.5/2
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Sensation générale : 2/3
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Rythme général : 1.5/2
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Total : 15/20
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En bref : un bon premier tome de saga, malgré quelques longueurs. Des sentiments mis en exergue et une romance bien construite, où les deux amoureux apprennent à se connaître, mesurent les risques d'une relation trop rapidement consommée.
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