Éditions Denoël
Nb de pages : 384
Série : The Machineries of Empire (tome 1)
***
Traducteur : Sébastien Raizer.
Illustration :
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Nb de pages : 384
Série : The Machineries of Empire (tome 1)
***
Traducteur : Sébastien Raizer.
Illustration :
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Catégorie : Science-Fiction
Partenariat : Denoël
Challenge : /.
Le capitaine Kel Cheris tombe en disgrâce après avoir utilisé des armes non conventionnelles lors de sa dernière affectation.
À sa grande surprise, elle est promue général à titre temporaire par le commandement Kel qui lui confie une mission d’une importance vitale pour l’Hexarcat, le système des six factions : mater une hérésie en cours dans la forteresse des Aiguilles Diffuses. Seulement cette promotion est assortie d’une terrible condition : ancrer en elle l’esprit du général Shuos Jedao, ancien traître et fou sanguinaire mort depuis des siècles, mais stratège de génie qui n’a jamais perdu une bataille. Que cachent les six factions à Kel Cheris ? Que sait exactement Jedao et, surtout, qui fut-il réellement ? Le Gambit du Renard est un space opera d’une richesse et d’une profondeur rares. Il a reçu le prix Locus du premier roman et a été finaliste des deux plus prestigieux prix du genre : les prix Nebula et Hugo. |
Je tiens a remercier les éditions Denoël pour ce partenariat.
L'histoire
Feuilleter le débutMon avis
Cet avis sera très court, car je n’ai pas pu dépasser les 100 pages du livre, en trois périodes de lecture !
Cela me déçoit, car je trouvais le résumé alléchant et que ces avis, que je cite ci-dessous, m’ont donné le sentiment de vraiment passer à côté.
Le problème majeur avec ce roman (pour moi !), c’est le début chaotique, ardu à lire sans repères et avec de nombreuses phrases incompréhensibles : une accumulation de mots bizarres, sans logique grammaticale ou de syntaxe.
Ce phénomène a aussi dérangé d’autres lecteurs, mais ils ont su passer outre. Pas moi.
Cela me déçoit, car je trouvais le résumé alléchant et que ces avis, que je cite ci-dessous, m’ont donné le sentiment de vraiment passer à côté.
Début ardu et phrases incompréhensibles
Le problème majeur avec ce roman (pour moi !), c’est le début chaotique, ardu à lire sans repères et avec de nombreuses phrases incompréhensibles : une accumulation de mots bizarres, sans logique grammaticale ou de syntaxe.
Ce phénomène a aussi dérangé d’autres lecteurs, mais ils ont su passer outre. Pas moi.
... commencer ce roman est particulièrement ardu. Il fait partie de ceux où l’auteur ne vous prend pas par la main et emploie d’emblée des termes ou des concepts exactement comme si vous étiez déjà familiers avec. (Le culte d’Apophis)
Mais je ne suis pas la seule, même si les autres ont été courageux...
Les space operas, lorsqu’ils sont comme ici présentés comme presque fantasy, savent m’embarquer. Or, ce roman se veut plus Hard SF que Science fantasy.
Mais c’est vraiment l’écriture qui m’a bloqué. Certains apprécient de se perdre dans les mots et croient, c’est leur droit, qu’un beau roman doit être dur à lire. Personnellement, j’aime entrer dans les pages, les tourner avidement, me noyer allègrement dans la souplesse des phrases, leur rondeur.
Bref, ici, je me suis cassé les yeux.
On sait jamais... j’avoue que d’écrire cet article (en retard, forcément) me redonne envie de tenter ! c’est frustrant, car je sens que ce livre a un énorme potentiel.
Pour être honnête, je n’ai rien compris aux cent premières pages de ce roman. (L’épaule d’Orion)Du coup, après avoir lu les avis de ces blogueurs, j’ai retenté la lecture, mais mettre un mois pour lire un roman, pour moi, c’est que la rencontre ne s’est pas faite et ne se fera sûrement pas.
Mathématique, space opera et immortalité
Pourtant, ce roman détenait des atouts, des clés pour me plaire. J’aime les mathématiques, et l’immortalité m’amuse. D’ailleurs, je trouvais les personnages de Mikodez et Kujen un brin aguicheurs et assez charismatiques.Les space operas, lorsqu’ils sont comme ici présentés comme presque fantasy, savent m’embarquer. Or, ce roman se veut plus Hard SF que Science fantasy.
Mais c’est vraiment l’écriture qui m’a bloqué. Certains apprécient de se perdre dans les mots et croient, c’est leur droit, qu’un beau roman doit être dur à lire. Personnellement, j’aime entrer dans les pages, les tourner avidement, me noyer allègrement dans la souplesse des phrases, leur rondeur.
Bref, ici, je me suis cassé les yeux.
Des avis plus que positifs
Du coup, je vous invite à visiter les avis de lecteurs bien plus convaincus que je le suis :
Malgré la complexité évidente de l’intrigue et de la plume, l’histoire est si passionnante qu’elle mérite un effort d’adaptation de notre part. (Les critiques de Yuyine)Et le passage qui m’a fait retenter une troisième fois :
Pourtant, j’ai décidé de laisser une chance à ce récit et j’ai bien fait, car peu à peu les choses se dessinent, l’intrigue prend forme, une logique se dessine et le lecteur trouve ses marques avec l’univers. Finalement, ce que je prenais pour un point bloquant, dévoile ses atouts, se basant sur le fait qu’on ne plonge pas toujours dans un nouveau lieu guide et clé en main. (Blog-O-Livre)
Quatrième essai ?
On sait jamais... j’avoue que d’écrire cet article (en retard, forcément) me redonne envie de tenter ! c’est frustrant, car je sens que ce livre a un énorme potentiel.
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